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|  Elle resta un instant figée de stupeur puis se radoucit et la serra contre elle.
Ce n'était pas de ta faute Jin... Rien de tout cela n'était de ta faute.
La vie est ainsi faite il faut savoir l'accepter!
Elle sourit et retint les larmes qui tentaient de sortir.
En un sens, elle et Jin se ressemblaient beaucoup. Elles étaient incapable de montrer leurs sentiments. Jin les cachait... Et Seyru les masquait par une joie permanente. Mais en réalité, elle souffrait constemment. Comme Jin.
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| Quand Seyrou lui caressa affectueusement la tête, cela lui rapella quand elles étaient jeunes, elles s'amusaient tellement bien, jusqu'à que ce salaud de chef enferme sa cousine qu'elle considérait comme une soeur. Elle releva la tête, un faible sourire s'afficha sur son jolie visage pâle. Elle dit :
Je suis heureuse de te revoir... Seyrou.
Elle ne put s'empêcher de se jeter dans ses bras, des larmes coulèrent sur ses joues. Elle s'écria :
Je suis désolé. J'ai pas pu t'aider quand tu était enfermé!Je n'ai pas pu! Tu as dû souffrir!
Je suis désolé! Je suis désolé!
Jin ne pu pas contrôler totalement ce qu'elle faisait. Cela faisait si longtemps qu'elle se sentait coupable de cela. Elle s'en était toujours voulu et elle voulait que Seyrou la pardonne...
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| Son regard se radoucit.
Oh Jin...
Elle eut un sourire et passa son bras autour des épaules de la jeune fille.
Il faudra qu'il me passe sur le corps d'abor petite soeur!^^
Elle lui caressa affectueusement la tête. Elle comprenait... Elle savait très bien ce que Jin pouvait ressentir en ce momment. Pour l'avoir ressenti chaque seconde depuis sa fuite.
Et puis tu sais il n'est pas si dangereux que ça. Je suis sur qu'un petit buldozer suffirait à le calmer!^^
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| Jin fit un petit bond en arrière quand sa cousine lui demanda si c'était elle qui l'avait amener ici. Non ce n'était pas elle, mais elle ne savait pas comment lui dire. Jin essaya de se calmer, le fait de revoir sa cousine lui faisait réellement plaisir, mais d'un coté, elle ne savait pas si c'était reciproque, alors qu'elle resta silencieuse. Attendant que Seyrou se calme. Elle était sa cousine, elle connaissait donc très bien le caractère de cette dernière, elle savait que quand elle était dans cette rage là. Il fallait attendre puis parler.
C'est ce que Jin fit.
Non ce n'est pas moi qui l'ai emmener. D'ailleurs, je n'ai emmener personnes, ces eux qui partent. Et je crois que c'est a cause de moi. Et si le chef me retrouvait ? Il me tuerait tu penses ?
Sa voix était comme faible... Quelque chose la bloquer, cela ce voyait.
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| Mikono prit les lapins, partit en direction de la fôret et les relâcha. Elle les regarda partir, le coeur gros.
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| Elle aperçut Mikono dans le magasin et se raidit. Que venai elle faire ici? Pourquoi n'arrêtait elle pas de la croiser ces derniers temps? Elle avait la désagréable impression de se faire traquer.
Elle lança à Jin un regard assassin.
C'est toi qui l'a amenée?!
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| *Une cage. combien de fois ai-je eu peur que mes parents m'enferment à l'intérieur?*
Mikono était songeuse. Pourquoi avait-elle prit le nom Satsuki? alors qu'elle aurait pu être une Soma. Etre dans la famille à Momiji, pouvoir le voir.
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| Elle leva un regard glacial vers Jin mais quand elle la vit son regard s'adoucit aussitot. Elle contempla les animaux avec pitié
Tu ne trouves pas ça horrible... murmura t'elle d'une voix éteinte. Enfermer ces animaux en cage...
Elle secoua la tête, dégoutée et murmura d'une voix féroce.
Ceux qui agissent comme ça mériteraient qu'on leur donne une cage sur mesure histoire de leur apprendre ce que ça fait!
Message édité le 22-10-2006 à 08:44:01 par Seyru Satsuki |
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| Mikon était à l'intérieur et avait pris deux lapins, un noir et un marron. Elle aperçut Jin et Seyrou et leur fit un signe de la main.
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| Jin passait près des magazins, cela faisait déjà près de deux heures qu'elle tournait en ville. Ne faisait rien de spéciale, ne regardant même pas les vitrines. Elle ne songeait toujours a rien, tout était vide dans sa tête. Elle était vêtu toujours d'une jolie robe blanche, et part dessu elle avait mit un petit gilet blanc transparent. On voyait clairement ses jolies formes, mais ce n'était pas pour qu'on la regarde qu'elle s'habillé ainsi. Soudain, elle apperçut quelqu'un qu'elle connaissait très bien. C'était sa cousine. Elle s'avança lentement, voyant que celle ci était légèrement de mauvaise humeur et lui dit :
Seyrou...? Sa va aller ?
Elle recula légèrement d'un pas, craignant un rebondissement soudain dans la situation. Comme elle connaissait très bien le caractère de celle ci.
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